YESSAY 001: un mot qui coupe.

YESSAY n’est pas un mot. C’est une tension.
Il ne veut rien dire. Ou plutôt, il veut dire sans se laisser saisir.
YESSAY.
À l’envers : SAY YES.
Dire oui à la vie, mais sans obéir. Sans filtre. Sans soumission.

C’est venu comme ça. Pas après une étude de marché. Pas après un brainstorming.
Une nuit. Un besoin. Un trop-plein. Un cri qu’on peut imprimer.

YESSAY, c’est ce qu’on lance quand on refuse le silence, mais sans faire de bruit.
Quand on veut exister visuellement, mais sans performance.
Quand on a des choses à dire mais pas envie de parler.

Ce n’est pas une marque.
C’est une forme de présence. Une silhouette dans la ville.
Une impulsion de tissus, d’angles, de textures qui ne s’excusent pas.

C’est né entre Arlon et Bruxelles.
Entre les cours, les trains, les écrans, les oublis de sommeil.
Une pulsion textile. Une construction sans mode d’emploi.

Ce n’est pas un projet parfait.
C’est un projet lancé.
Et c’est tout ce qui compte.